La jalousie entre frères

Aujourd'hui, nous cédons la place à un nouveau poste très personnel. Comme nombre d'entre vous le savent déjà, nous avons élargi la famille récemment. Avec l'arrivée de notre bébé Jon, beaucoup de choses nouvelles sont venues. Pour moi, c'était un merveilleux post-partum. Beaucoup plus physique que le premier, mais infiniment mieux émotionnellement.

Comme nous l'avons dit dans des messages précédents, l'expérience est une note. Et avec elle, vous apprenez à prendre la maternité plus sereinement parce que vous avez la certitude de ce qui est vraiment important pour vous et votre bébé.

Cependant, avec cette bimatria, elle était une nouvelle mère sous un autre aspect: la jalousie. Et, vraiment, c'est un sujet qui nous a fortement touché. Vous vous préparez, vous lisez et au début, tout se passe parfaitement bien. Principalement parce que le bébé lui-même est nouveau. Votre premier fils ou fille est ravi, désireux de tout découvrir. Cela vous aide, vous vous impliquez ... vous l'impliquez dans tout. Et elle heureuse! Mais ... oh non! Un jour, elle décida qu'elle ne voulait plus aider.

En tant que bonne nouvelle maman, je ne suis même pas consciente que cela pourrait être un risque. Au contraire, j'ai pensé: regarde comme c'est bon. Il est déjà totalement dépassé et maintenant, il "se fatigue" pour aider. En bref, en peu de temps, la petite / grande maison a commencé à jouer le fou. Soudain, il a cessé de manger et tout ce que j'ai dit était: NON! Ils ont renvoyé des accès de colère, des mauvais visages constamment avec moi et, enfin, une petite apathie envers son petit frère.
À l'école même, ils ont compris qu'elle était moins disposée, qu'elle était confuse. Cela n'a pas répondu à ce que les enseignants ont dit. Quel panorama! Vous pouvez imaginer que je suis brisé à l'intérieur. Ma fille ne veut même pas me voir. De temps en temps il me laissait partir: encore poitrine, poitrine? Et oui ... bien sûr. Le petit a passé beaucoup de temps sur moi, car j'avais besoin de lui.

Et qu'avons-nous fait? Tout d’abord, je voudrais préciser que je ne considère pas que c’est fini. C'est un processus ... et petit à petit, il s'est amélioré. Mais je suis conscient que nous devrons nous en occuper tous les jours.
Nous devons également dire que nous trouvons notre solution, en tenant compte de nos habitudes, de nos habitudes et de nos goûts. Mais cela ne doit pas fonctionner pour tout le monde. Je voulais juste partager notre expérience avec vous.
Pour tenter de renverser la situation, nous avons procédé comme suit:
- Alors que je dormais un peu la nuit parce que le gamin a passé toute la nuit dans la poitrine, papa a emmené Elisa à l'école. À ce moment-là, la plus âgée a même commencé à pleurer qu'elle ne voulait pas aller à l'école et dans l'une des crises "elle s'est enfuie", elle ne voulait pas y aller parce que je restais à la maison avec Jon et elle voulait aussi rester. Donc, même si pour moi, papa était plus à l'aise pour l'emmener à l'école et que je la prenais, nous devions changer de routine et je la prends maintenant pour la prendre. Maintenant, vous acceptez le fait que certains jours, si je ne pars pas, quelqu'un d'autre peut vous prendre. En temps de crise, pas même cela accepté.
- Dans l'après-midi, je suis allée quelque temps au parc avec Elisa pour jouer avec ses amis. J'ai interprété que cela se passait bien parce qu'il y avait tellement d'évacuation d'air. Mais rien n'est plus éloigné de la réalité. Elle était "stressée" beaucoup plus pour rentrer à la maison et se rendre directement à la douche, manger et dormir. Nous avons donc changé le parc pour jouer à la maison. Viens jouer avec moi ou papa et Jon. Et au bout d'un moment, prenez une douche!
- Ils aiment tous les deux la douche. C’est un moment que nous avons toujours apprécié et, depuis lors, j’ai décidé de prendre une douche ensemble. Pour rendre ce moment magique pour les deux, un moment partagé. Maintenant, ils ont "teta" jouer ensemble sous la douche. Bien sûr, comment va la douche!
- Le dîner a été l'un des moments les plus stressants de toute cette situation. Notre fille a refusé de manger. Il a arrêté de manger. Je ne voulais rien Chaque nuit, il se battait pour lui faire manger un morceau de poisson, de légume ou de viande. Nuit après nuit, je n'ai pas mangé. Les semaines passèrent et vous pouvez imaginer l'angoisse que nous ressentions à chaque fois que le dîner approchait. Nous changeons donc le focus. Nous lui avons dit que s'il ne voulait pas manger, rien ne se passait, mais il ne pouvait pas se lever de la table. C’était le temps passé à manger et à passer tout le temps que nous mangions assis. En lui faisant comprendre que c'était un moment important et qu'elle avait finalement la possibilité de choisir de manger ou non, c'était un changement automatique. Il a commencé à manger. Peu, rien d'extravagant. Mais au moins j'ai déjà mangé.
C'est donc la situation dans laquelle nous nous trouvons maintenant. Nous sommes revenus à une "semi-normalité", où nous sommes très conscients qu'il s'agit d'un processus et que tous les processus peuvent aller et venir. Avec lequel nous restons alertes et disposés à nous faire dorloter partout!